[Recueil] Grimoire des Mémoires

[Angellore]

Ce topic est en fait un grimoire, receuil de poème écris lors de moments de solitude, de joie, ou tout autres sentiments. Je sais trs bien que vous ne pouvez en comprendre le fond, seulement la forme mais je tenais quand même à les faire partager et ce, en toute humilité.
Excusez moi également du coté dramatique, la plupart du temps, de ces écrits. Le fait est que je ne prends pas souvent le temps d'écrire dans les moments joyeux, je préfère profiter dans ces cas là.
Vous pourrez égalment apercevoir des brides de reflexions sur l'amitié, l'amour et le suicide.
Je n'ai pas non plus souhaité donner de titre aux poèmes car, comme je l'ai expliqué à Nnevlon, un titre ne parle qu'à celui qui en est l'auteur et ses interprétation donne au lecteur une possiblité de jugement sans connaitre le contenu de l'oeuvre qui le porte.

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On s'est rencontrés tous les deux
Dans ce somptueux sanctuaire,
Fixés les yeux dans les yeux,
Beauté dans un cadre mortuaire

Moi c'est Angel, toi c'est Noémie,
J'suis enchanté de te rencontrer.
Elle aurait été belle la vie,
Si vivants, on s'était croisé.

Tuée par une rose noire
Aux épines de feu,
Ton reflet dans le miroir
S'est déchiré peu à peu...

Meurtri par le désespoir
Pour un amour perdu,
Moi j'ai choisi de ne plus voir :
En me noyant, pas d'issue...

Maintenant, j'entends les orgues
Qui entament la danse mortelle...
Elle est jolie cette morgue,
Mais toi, dieu que tu es belle.
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Le temps d'une caresse,
On n'a pas vu le temps passer...
Aussi futile qu'une promesse,
Petit coeur s'est déchiré.

Le temps de se remettre
De ces instants violemment rayés,
Petit coeur veut renaître
Pour soigner son enveloppe déchirée.

Le temps d'un sanglot,
La neige vient à tomber,
Pour couvrir la douce peau
De Petit coeur terrassé.

Le temps d'une caresse,
On n'a pas vu le temps passer...
Je t'apporte toute ma tendresse,
Petit coeur bien aimé.
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C'est par la grâce de l'essence
Que je me retrouve entouré.
Elle, si belle, d'une pure innocence,
Elle m'a tellement bien berné.
Se rapprochant de mon corps si usé,
Elle a sussuré de beaux et doux mots,
Puis brusquement s'est mise à enfoncer
Ses vicieux crochets dans mon dos.

C'est par la grâce de l'essence
Que je me retrouve subjugué
Par une trahison au goût si rance,
Pire que toute amertûme déjà rencontrée.
Je lui ai confié les clés de l'espérance
Pour me voir un jour tout surmonter,
Et atteindre auprès d'elle la délivrance
D'une vie toujours plus démontée.

C'est par la grâce de l'essence
Que j'ai pu perdre à jamais
Cette utopie que j'ai de l'existence,
Celle qui m'a déjà si bien baisé
Au long de mon mystérieux passé,
Et a fait de moi un être déjà blasé.

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Je suis le fébrile ange de la mort
Qui couvre de mes ailes usées
Mes protégés condamnés au triste sort
De devenir ternis et dénaturés...

La malédiction qui me poursuit
Décrépit peu à peu mon corps
A mesure que je lui survis,
Menaçant de faire disparaître l'aurore.

J'éprouve un désir morbide et malsain
A pleurer, solitaire, en silence,
Tout en aspirant délicatement en mon sein
Leurs blessures si rudes et si denses...

Brûlant ma peau, glaçant mes lèvres,
Rien ne peut stopper l'horreur.
Il m'a dit de veiller sur moi-même,
Mais je ne peux arrêter la douleur.

Je suis le fébrile ange de la mort,
Partout où elle passe, je l'absorbe...
Cette beauté infâme qui ronge le coeur,
La douleur demeurera à jamais dans mon corps.
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La connection entre deux êtres
Semble parfois d'une évidente simplicité,
L'introduction d'un lien qui va naître
Puis l'envol d'une relation évoluée.

Une liberté se révélant bien trompeuse,
Le petit coeur s'efface dans une neutralité
Rongée par la subjectivité malheureuse.
La douleur ne s'effacera plus désormais,
La rancoeur est unique à ne pas brûler
Dans le chagrin des étoiles désemparées.

La chûte du culte que j'ai toujours voué,
La désillusion de l'Amitié si fragile
Menée par l'Amour si peu docile,
A brisé les chaines de la fraternité

Une vie usée, piétinée, découpée,
A l'aide de ciseaux glacés et putrides
Qui lentement, dessèchent toute possible gaieté,
Et transforment mon coeur en zone aride.

Chaque membre de mon corps se raidit,
Mon dernier souffle de vie se dissipe...
J'ai beau lutter, m'accrocher à chaque prise,
Mais le néant m'attire où que je m'aggripe.

J'ai longtemps rêvé de ton coeur attrapant le mien,
Le serrant délicatement en son sein plein de chaleur,
Mais aujourd'hui, la négation a entrainé le déclin
De tout l'espoir que tu as balayé dans la douleur...
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Doucement mon corps s'élève,
Mon âme coincée entre deux cieux.
Tu as détruit tous mes rêves,
L'amour baise les amoureux.

Un passé cerclé de noir
Déchiré de part en part,
Se cache dans les sombres pensées
D'un petit coeur aux yeux dorés.

Un passé meurtri par une fureur
Refoulée par une horrible peur,
Ressurgit à tout instant,
Rendant toute pensée oppressante.

Un futur aux multiples aspects,
Un coeur peut-être rempli de paix,
Tout reste cependant incernable
Au milieu d'une attente insoutenable.
Noémie, par ta faute je saigne à l'infini.
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[Nnevlon]

…c’est sombre…très sombre…cela me rappelle les écrits d’un de nos compatriote gaien qui a hélas déserté cette partie du forum…j’aime beaucoup ta façon d’écrire, en somme j’aime beaucoup.
A ne pas lire dans les moments où le moral n’est pas au sommet.
Il est juste un peu dommage que tu n’ai jamais mis ta plume au service de sentiments plus gais.
Merci de nous avoir fait découvrir tes talents en tout cas.

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[V nus]

Non j'ai pas déserté; suis là ^^

Mais petit cours sur la tension dramatique car on me l'a servi aussi le couplet
"faut pas avoir le cafard avant de le lire sinon...blablablurp..."

On a une situation A: un mec meurt.

Deux possibilités pour faire monter la tension dramatique:

1: On met une musique triste pour souligner que c'est triste. (si si il faut sinon le spectateur est fouttu de pas être triste ce c*** lol)

2: On met une musique super joyeuse (provenant par exemple de la pièce d'à côté ou les autres convives danses la farandole sans savoir que notre bon vieux gars est en train de rendre l'âme.
Résultat: Il meurt "seul" sans personne auprès de lui pendant que tout le monde est joyeux.
ps: En se démerdant bien sur la réa tu peux rendre ce moment de joie des "danseurs" à la limite du supportable.

ps: il existe aussi une troisième solution qui consiste à ce que la scène se suffise à elle même sans rajout; mais celle-ci n'est quasi jamais utilisée.

BREF; ce petit exemple pour faire un parallèle: Dans les moment de tristesse de ma vie j'ai toujours trouvé du réconfort dans les choses dites tristes. Rien de plus déprimant quand tu es triste que de voir les gens rires au dehors: tout le monde est heureux...sauf toi...on rejoind l'exemple 2...


Merci Angellore pour ces très beaux petits poèmes. N'hésites pas à réitérer quand tu veux
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http://bibiseven.grafbb.com/

[V nus]

PS: Bon bah pour les fautes, je les corrige en me relisant une fois le texte envoyé...là je viens de m'aperçevoir que je ne peux pas éditer Oo...
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http://bibiseven.grafbb.com/

[Angellore]

Merci...
Je réitère dès que je peux sur des thèmes un peu plus joyeux.
Mais en fait mon attrait principal va aux essais, analyse d'oeuvres...
En ce moment d'ailleurs je suis sur une analyse de Matrix mais je doute qu'un tel forum puisse accueillir ce genre d'écrit.
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[Angellore]

Désolé du double post.
Nouvelle fournée! ;]

Passion tendre et torride à la fois,
Ce désir qui me rend tellement hystérique.
Je dévorerai chaque parcelle de ton âme,
Le temps sera venu de tout effacer.
Laisse moi te toucher rien qu'une fois...

Je tomberai dans les abysses pour toi,
Celles où la défonce est seule reine,
Je déclarerai forfait devant toutes mes pulsions,
Laissant éclater le bouillonement de la passion.
Laisse moi t'embrasser ne serait-ce qu'une fois...

Caresser sensuellement ta douce peau,
Tes longs cheveux de belle clémentine,
Demain sera le seul jour où je t'oublierai,
Seulement le dernier jour où je t'abandonnerai.
Laisse moi te faire l'amour au moins une fois...
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Je me souviens de ces mots magiques
Qui me font tendrement rêver chaque nuit,
Chacun d'entre eux était tellement unique
Ce sont eux qui m'ont enfin fait écrire.

Un soupçon de bonheur
Caché dans une mer de malheur
Au travers d'une rencontre hasardeuse,
M'ont fait rencontrer une personne radieuse.

Chacun des mots échangés
Sur une feuille de papier froissée,
A permis à ce vingtième de naître,
Et de faire s'exprimer mon être.

Et le soutien de toutes ces personnes
Qui au doux plaisir de me lire raisonnent,
Contribuent à mon envie d'écrire encore
Pour ceux que j'aime d'un amour en or.

La petite coquille vide en quête de magie
A trouvé sa voie au prix d'une longue patience,
Et caresse du creux de sa main l'âme infinie
De la galaxie éreintée sans qui elle n'a de sens.

Ces paroles des cheveux d'argents,
En ces textes prennent tout leur sens...
Celui qui souhaite le bonheur futur
Dort pour oublier le malheur passé...
Il souhaite faire des rêves joyeux
Parce qu'il ne peut oublier la triste réalité...

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Petit coin de ciel bleu
Au milieu des nuages,
Signe que l'on se fait vieux
Au milieu du jeune âge.

Ca remonte à longtemps
Que je ne t'ai pas enlacée,
Petite folie si souriante
De notre vieille complicité.

Perdu au milieu de tout ce néant,
Je conserve cependant le souvenir
D'une fée au chagrin tellement grand
Que j'ai sêché ses larmes sans désir.

C'est en se souvenant du pire
Que je peux alors mieux te définir,
Comme un être qui ne m'a apporté
Que simples bonheur et sincérité.
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I need her soul
To go to skies,
To bring her the moon,
And write her name in the clouds,
To tell everyone who she is...
A part of me.

Lost in thoughts
Like an extinct sun,
I need her love
To find her,
I need her forever
To find me.

I feel pity for the others,
They can't love as I love her.
I hate all of them,
They don't feel the lack I feel.
But as cruel as this feeling can be,
Forever, I wish preserve it.

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Seuls, isolés dans une sombre clarté,
Cachés dans cette pièce close et feutrée,
Deux paires d'iris fixées par obsession,
Montrent chaque corps en quête de cette union...

Chaque seconde s'éternisant,
Dans un tendre parfum ennivrant,
Les lèvres, à leur manière suprême,
Viennent murmurer un délicieux "je t'aime".

Prêts à s'embrasser en secret,
Libérer les plus vives pulsions,
Se caresser doucement pour affronter
La plus intime face de nos passions.

Une main glissant sur les cheveux,
Ils ramènent les lèvres à courte portée.
Et comme pour clore ce petit jeu,
S'unissent dans un tendre baiser.


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Un doux et exquis mélange
Conçu par un hasard aux contours noirs,
A tissé une relation bien étrange
Au devenir que je ne peux entrevoir.

Tour à tour ami, frère, ame soeur,
Ne souhaitant que t'insuffler le bonheur,
Cet attachement tellement important
N'a de cesse d'estomper toute douleur.

Chacun de ces instants communs
Immergeant mon être dans un bonheur iréel,
Fait naître dès la plus infime séparation
Une sensation de manque si cruelle.

Et cet état de transe infernale et totale
Plongeant mes sens dans un univers psychédélique,
Me lacère le coeur à une cadence fatale,
Détruit chaque parcelle de mon esprit de façon anarchique.

Traversé par ces deux aspects opposés
Et à la fois intenséments similaires,
Implorant le calme pour rendre mon esprit plus clair,
Chaque nuit je supplie de pouvoir tout effacer.

Mais l'idée de tout oublier me ronge,
Ne plus te percevoir autrement qu'un simple songe,
Je préfère sacrifier toute possibilité de sérénité
Et pouvoir simplement continuer à t'aimer.

(J'veux me réveiller,
Fuir tout désespoir...)
(J'veux te garder...)
(Y a pas d'échapatoire...)


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The moon is shining,
Showing you my tears ;
My heart is crying,
Revealing all my fears...

Dressed with a white shroud,
You will look like an angel.
Together, we'll all crowd
Around your beautiful corpse.

Physically you'll be nowhere,
And you will leave me alone.
But your memory will be still there,
You wont forsake me my dear light.

While I survive in this world,
I will never forget you.
And when death will take me off,
I will never forsake you.

Forever you will be my star,
Your eternal light will always guide me
Through times of peace and war,
I know your mind will be forever with me.



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Voici les bris d'un miroir défoncé
A grands coups d'un horrible désespoir,
D'une détresse sauvagement brûlée
Par le plus maudit et vicieux des feux noirs...

A force de prôner une morale sans futur,
De chercher un idéal qui ne peut survivre,
Il est si aisé de recevoir les pires coups durs
Et ne plus avoir la douce volonté de vivre.

En se cloîtrant au plus profond de soi,
A murmurer de bien tristes et pitoyables prières,
On finit par ne pouvoir rêver que de joie
Et oublier cette si désespérante réalité meurtrière.

Et prisonnier de ces rêves qui nous déconnectent
De notre destin aux allures d'un gouffre béant,
On se rend compte de la nature de notre vie d'insecte
Qui n'est qu'une simple interruption au milieu du néant.



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Lassé de te faire périr dans chacun de mes songes,
De pleurer sur le sort d'une petite étoile éteinte
Représentant l'infini de la lumière qui me plonge
Dans un état de grâce si proche d'une tendre étreinte,
Aujourd'hui c'est vivante et riante que je te décrirai,
Pour te dire à nouveau que je t'aime, mon étoile adorée.

Il est de ces êtres uniques qui peuvent tout apporter
Bonheur, sérénité, jalousie, passion de les aimer,
Auxquels rien, strictement rien ne peut être refusé,
Même face à une volonté de ne pas vouloir être abusé.
J'ai fait la connaissance d'un de ces êtres si magiques,
Dans la constellation de l'amour, mon étoile pour toujours...

Chaque particule de cette étoile si belle et souriante,
Révélant une âme d'argent au coeur de platine fissuré,
M'a tendu deux belles et chaleureuses comètes si brillantes,
Deux bras recherchant le plus intense des amours partagés...
Me cramponnant avec tendresse à cette douce étoile filante,
Je l'ai embrassée tendrement pour voir son malheur s'effacer...

J'ai trouvé un astre pur, devenant chaque jour plus fort,
Que j'ai pu ranimer au contact de ses lèvres si douces...
Petite étoile éteinte, s'allumant au contact de mon corps,
Dans la constellation de l'amour, mon étoile pour toujours...

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Mes doigts glissant
Sur tes douces mains,
Je chante doucement
Ce petit refrain...

De te purifier de mon être,
D'effacer tous tes souvenirs,
Car ils ne nous apporteraient
Que de la peine sans désir...

Mais ces tristes pensées
Ne t'ont jamais atteinte,
Et notre symbiose magnifiée
Jamais ne s'est éteinte.

Cette complicité unique,
Si complexe et magique,
N'a faibli qu'en apparence,
Mais a grandi secrètement.

Petits êtres malicieux,
En quête de jours heureux,
Jouissent au gré du vent
D'un entrain enivrant.

Au bord d'une rivière,
Nous contemplons la beauté
De l'édifice imprenable
D'une amitié jamais entamée.

Cette distance si cruelle
Qui vous a éloignés de moi,
Face à toi, est si frêle...
Nous serons toujours là...
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[Spartan]

heu ben écoute félicitation !!

PS : moi perso je suis preneur pour l'analyse de matrix, bon ok on est un peu loin d'ogame et alors ? Pour ma part ça m'intérresse....
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[Angellore]

Pour l'analyse de Matrix. Pour le moment elle est sur papier et j'ai la flemme de recopier 30 pages doubles en une fois.
De plus, je pense ajouter une partie sur les liens entre V pour Vendetta et la trilogie Matrix et pourquoi pas une courte analyse de la pensée des frères.
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[Deckard]

Trés jolie tout ca ! Continue comme ca, ca me rappelle notre Vnus
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« Il est bon de parler, et meilleur de se taire. »
La Fontaine

[Angellore]

D'après ce que j'ai lu de V Nus, ce ne peut-être qu'un compliment!
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